Rendre attrayant et sûr le vélo, pour les déplacements quotidiens à Villefontaine : débattons-en dès maintenant.

pour un nouveau départ, au travail !

Du quartier des Fougères, à celui des Armières, à l’entrée de l’autoroute, et avec 150 m de dénivelé aussi, comment sans voiture gagner au mieux la gare routière ou celle de la Verpillière, des bus ou des trains en nombre et en capacité d’accès limités actuellement, comment rallier au mieux la zone des Chesnes pour ceux qui y travaillent. A l’inverse pour ceux qui travaillent dans notre commune, comment la rallier au mieux leur destination, s’ils résident dans une de nos voisines ? :

Facilitons en premier lieu les déplacements quotidiens domicile-travail et si les trajets sont inférieurs ou de l’ordre de 5km,

De-confinement et déplacements : penser vélo et transports collectifs, en nord-38 et à Villefontaine aussi !

Des outils pratiques, localement aussi (#CAPI #Villefontaine)
#construisonsdemain

À partir du 11 mai, des millions d’entre nous vont reprendre progressivement le chemin du travail, du collège ou du lycée, des activités d’achats et de loisirs, … A Villefontaine, comme sur la CAPI ou en nord-38, comme par réflexe, reprendrons-nous en masse nos voitures, pour nos trajets quotidiens domicile-travail, pour nos achats, pour nos loisirs ? Ne sont-elles pas rassurantes quand masques et distanciations physiques s’imposant dans les transports en commun ?

Ou pourrons-nous envisager d’autres alternatives, d’autres propositions comme celles que de nombreuses villes ont décidé de mettre en place un plan pour rééquilibrer de l’espace public, améliorer les conditions de déplacement des piétons et des cyclistes, et cela immédiatement, en vue de la rentrée de septembre, ou à plus long terme ?

De nombreuses villes mettent dores-et-déjà en place un plan pour rééquilibrer de l’espace public permettant d’améliorer les conditions de déplacement des piétons et des cyclistes, immédiatement ou en vue de la rentrée de septembre. Voir en pratique le dossier du CEREMA : préparer les déplacements après le confinement.

A Villefontaine même, redessinons jour après jour une ville « renouvelée » !

Sept conseils pour alléger les réseaux, en télétravail et couramment

Confinement oblige, une partie de la population est actuellement contrainte au télétravail, depuis plus d’un mois et pour trois semaines encore.

Cette situation exceptionnelle provoque une saturation des réseaux, puisqu’elle entraîne une multiplication des réunions en visioconférence. Les besoins d’échanges restent nombreux entre collègues et plusieurs échanges numériques par jour sont nécessaires pour beaucoup d’entre nous. Et la surcharge des réseaux engendre parfois des difficultés de connexion. Cette période très particulière est l’occasion de prendre conscience que nous sommes devenus hyper connectés et de découvrir que l’impact du numérique n’a rien de virtuel.

Cet article de Florence Clément, Ademe (Agence de la transition écologique) est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

Tissons et retissons nos liens, nos relations par tous les moyens !

toutes générations

Distanciation, gestes barrières, masques… tout cela est indispensable pendant l’épidémie de Coronavirus, pendant la période de confinement, même sans doute au moins partiellement après pendant des semaines, voire des mois.

Mais quelles chances n’avons-nous pas de toujours pouvoir tout de même communiquer, se parler, se voir, échanger, se réunir par téléphone, messageries (sms, mails, etc.), conversations visiophoniques, débats à distance, réseaux sociaux, etc., alors qu’il y a quelques dizaines d’années nous n’avions souvent que le courrier.

Le secteur associatif doit tenir bon

 »  les associations ne peuvent-elles faire plus ? L’histoire du tissu associatif français a été forgée en partie grâce à de nombreuses initiatives privées. L’héritage social de ces dernières sera-t-il mobilisé aujourd’hui et comment se compare-t-il à d’autres initiatives qui émergent ailleurs dans le monde ? (…)

L’État doit-il seul continuer d’organiser le combat contre une crise sanitaire inédite ? (…)

Il est permis de se demander s’il revient aux pouvoirs publics d’apporter seuls une réponse à la pandémie. Même inquiet quant aux multiples restrictions pesant sur son activité en France, le monde associatif reste solidaire. « 

Reprise ici d’un article de TheConversation (3 avril)